Fin de semaine de Pâques

Fin de semaine chez mes parents sur la rive-sud de Québec. Vendredi j'étais supposée sortir courir, mais j'ai remis ça à samedi. Alors samedi, petite sortie pré-dominicale dans les rues de cette super banlieue. Ce fut assez difficile merci! Le parcours a des pentes, tandis qu'à Montréal, il est bien plat. Aussi, j'ai couru sur de l'asphlate et des trottoirs en béton. Pas la meilleure surface. Le soir avant de me coucher, mes genoux me le rappellaient. Le matin tout était correcte. J'ai quand même pas pu m'étirer trop trop ni faire des abdos. Je m'installais dans le salon quand la belle-famille est débarquée. Je leur ai servi un bel accueil en vêtement de course et dégoulinante-face toute rouge. Disons que malgré mes efforts, ce ne fut pas une fin de semaine sportive.

Pour la bouffe, my god, je ne gagnerai pas de médailles, mais ca aurait pu être pire. J'ai vraiment pas trop abusé du chocolat. Je me surprends moi-même. Un souper au resto le soir avec pizza aux 4 fromages, quelques bières, dessert. Brunch du lendemain: pain doré, saucisses, bacon, fromage, patates rissolées et j'en passe. J'ai pas trop abusé non plus.

Je dois avouer que mes signaux de faim ont été faussés toute la fin de semaine. Comment résister à la bouffe chez mes parents!? Ici quand je ne fais rien, j'ai pas faim donc je ne mange pas jusqu'à ce que j'aie faim. Là bas, la bouffe s'enchaîne et les fromages et autres petites douceurs m'appellent du frigo.

À part ça, je me suis acheté des tapis en mousse style gros morceau de casse-tête pour faire mes redressements. La couverte au sol n'était pas très efficace. J'ai aussi fait beaucoup de divan et écouté mes émissions préférées. Chose im-po-ssi-ble chez moi. (Remarquez le respect de la grammaire pour la division du mot).

Pour le chocolat que j'ai reçu, je vais le déguster. Bizzarement, je n'ai pas envie de me garrocher dessus comme les autres années. Les années passées, ma stratégie était tout autre. Je le mangeais le plus vite possible. Je me contais un grosse histoire. J'ADORE LE CHOCOLAT. Je me disais donc d'en finir au plus vite, pour que ce mauvais moment d'accumulation de poids se passe le plus rapidement possible. Pas la stratégie du siècle. Là je déguste et arrête de m'en faire.